Jean-Luc s’invente une vie (par clientélisme)

Par clientélisme, Jean-Luc Mélenchon se prend pour un Marocain pure souche. Si, si, il nous confie qu’on le traitait de bicot à l’école et il se souvient du tremblement de terre d’Agadir…

Par clientélisme il nous dit qu’il est un enfant du soleil, un immigré, et qu’à ce titre il se sent solidaire de tous les parias de la Terre.

Sauf que… Jean-Luc est né, non pas en plein massif de l’Atlas d’un père berger, mais à Tanger. Et où ça à Tanger ? Dans la zone internationale où il n’a pu dû apprendre plus de deux mots d’arabe. Ses parents ? Des Français travaillant pour l’administration coloniale, lui receveur des Postes, télégraphes et téléphones (PTT), elle, à l’Éducation nationale (institutrice). À ce titre, ils étaient bien plus payés que dans l’Hexagone et gagnaient des années pour la retraite. À l’époque, on appelait ça le tiers… colonial.

Arriver à 72 ans et se réinventer une vie, comment dire ?…

(Petit détail, le défenseur de l’abaya et qui ne tolère pas que le président Macron salue le pape, travaillait, dans les années 1970, dans un journal catholique fondé par un ardent défenseur de valeurs chrétiennes au XIXe siècle).