Le Brésil en feu: images et vidéos…
Cette « Déesse de la pluie », en langue Tupiguarani, a fui les incendies et s’est cachée dans un poulailler du Pantanal. Brûlures au 3e degré. Un traitement avec des cellules souches a été mis en place. (Vidéo de la journaliste Claudia Gaigher)
Le Pantanal en feu
Vidéo d’un coati aspergé d’eau après avoir été sauvé des terribles incendies qui ravagent le Pantanal brésilien, la plus grande zone humide du monde. (Le coati est un animal proche du raton laveur).
“Índios e caboclos?”
PF já tem provas para indiciar fazendeiros de MS por queimadas no Pantanal – 25/09/2020 – UOL Notícias https://t.co/7f0BEu19cf @UOLNoticias #UOL— xico sá (@xicosa) September 25, 2020
La police fédérale accumule les preuves : les incendies sont bien d’origine humaine. Les agriculteurs travaillant notamment pour l’agro-business sont fortement soupçonnés. Le feu est en effet la façon la plus rapide, efficace et surtout la plus économique pour défricher et déboiser…
Le gouvernement Bolsonaro les encourage en faisant pression sur la PF et la justice.
Fogo no Pantanal começou em grandes fazendas, aponta investigação da PF https://t.co/rPxQZbl3Rn
— Revista Fórum (@revistaforum) September 25, 2020
De nombreux dessins et nombreuses caricatures circulent sur les réseaux sociaux
Brésil : ONG et agro-négoce unis contre la déforestation !
Unité de façade, opportunisme ou vraie prise de conscience ?
En attendant, le Brésil brûle toujours…
The #Pantanal is the largest water extension in the world, where the bigest jaguar population in the planet lives. Also, there's a lot of original species and traditional communits in danger because of the fires! It's a #ClimateEmergency! + #SavePantnal pic.twitter.com/xOhV4bE2Gi
— #BrasilEmChamas #SavePantanal (@indgnant) September 25, 2020
Ricardo de Aquino Salles est le ministre de l’Environnement de Jair Bolsonaro. Il est pour une exploitation maximale du Pantanal et de l’Amazonie. Il n’a absolument aucune compétence en la matière. Il fait l’objet de plusieurs poursuites judiciaires notamment pour trafic d’influence, corruption active et passive, faux et usage de faux, diffusion de fausses informations…